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Dénomination : Procédé PACES (Pompe A Chaleur à écoulement Spontané)
But: C'est une nouvelle voie d'énergie renouvelable. Il s'agit d'exploiter l'immense réservoir de chaleur ambiante contenue dans l'environnement. On pourrait l'extraire en refroidissant légèrement les rivières, les fleuves, ou même l'air.
Principe - Description : Le principe consiste à obtenir un écoulement spontané (ou naturel) de chaleur d'un point froid vers un point chaud. C'est possible si le gaz se trouve dans un champ d'accélération très intense. Nous pouvons tous observer qu'il y a un gradient de température dans l'atmosphère, c'est à dire une variation en fonction de l'altitude qui est d'environ 6 degrés pour 1000 mètres. C'est ainsi que les grands avions de ligne se déplacent dans un environnement à -40 degrés. Si le champ de pesanteur était 1000 fois plus intense, alors il y aurait une variation de 6 degrés par mètre de dénivellation. Deux plaques face à face et horizontales séparées d'un mètre seraient en équilibre thermique avec un écart de 6 degrés, mais elles ne le seraient plus avec un écart moins important de température, d'où un écoulement spontané (ou naturel) de chaleur de la plaque froide (haute) vers la plaque chaude (basse). Vous trouverez toutes les informations nécessaires à l'adresse suivante : www.new-energy-paces.com
Intérêt pour l'environnement:
Jusqu'ici l'utilisation des énergies fossiles, et même des combustibles nucléaires, ne cesse de réchauffer l'environnement. Le procédé PACES, s'il se généralisait, marquerait la fin de la pollution thermique, mais aussi la fin de la pollution au CO² qui porte une très grande part de responsabilité dans le réchauffement climatique et le dérèglement du temps.
Avantages - inconvénients:
C'est une voie aussi intéressante que l'énergie éolienne, mais sans l'inconvénient de la très grande variation de la puissance du vent sur le continent. Ce serait également un procédé peu encombrant par rapport à la puissance fournie. Le seul problème consiste à mobiliser les moyens nécessaires au développement de cette technologie, financiers mais surtout en chercheurs et ingénieurs. C'est uniquement une question de volonté politique au niveau international.
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